SORROW-JACK

**witty storm.** tell me that all we had were lies

Matt B

A REDIGER ses parents ont été tué quand il était gamin il a du faire le tour des foyers d'accueil, ses parents étaient tous des cons, il a fini par s'en sortir en attérissant dans une famille de riches cependant distants. Il a pu faire des études de droit et est maintenant indépendant, débrouillard, autonome, distant, toussa et n'a pas recontacté sa famille depuis son entrée a l'université. Il y rencontre une fille qui devient sa meilleure amie mais qui a des sentiments pour lui (cachés sinon c'est pas drôle) et l'aide a reprendre gout a la vie, blabla. Il y a trois ans il rencontre Enola lors d'un procès genre c'est l'adversaire toussa leurs arguments colle, leur personnalité aussi et très vite ils sortent ensemble et pendant un an c'est l'amour fou, toussa puis il apprends un truc qui fait qu'il la quitte du coup il déménage a l'autre bout de la ville, se renferme recommence a boire, toussa, se plonge dans le boulot. Puis il y a deux semaines il se fait embaucher dans une nouvelle boite ou elle y travaille il se trouve qu'elle est fiancée avec le patron blabla et qu'il l'aime encore. Il s'en fout d'être piégé pour lui ça change rien a sa vie, l'extérieur ne l'intéresse pas toussa

**witty storm.** tell me that all we had were lies

" Tout ce qui m’ entoure me rappelle comment tu me manques. "

❝ then i never saw them again ❞
« Sorrow, vas te cacher mon poussin, je t'aime, tellement fort » Caroline Rivers planta un baiser au sommet du crâne de son petit garçon avant de courir dans le salon ou son mari était étendu sur le sol, dans une mare écarlate, le crâne fracassé. Désespérée, dépitée, déchirée, Caroline s'allongea sur le sol à ses côtés, posant doucement sa tête sur le torse de son mari, pleurant toutes les larmes de son corps, ses larmes joignant la flaque de sang, créant un rouge plus épuré, moins vif, moins cruel. « faites ça vite, je vous en supplie » chuchota la jeune femme avant de fermer les yeux à jamais alors qu'une balle atteignit son coeur. Attiré par le bruit semblable à un pétard comme un papillon vers la lumière, Sorrow-Jack accourut dans le salon à son tour pour trouver les corps inanimés de ses parents sur la moquette. « MAMAN, Maman ?! » s'écria alors le petit garçon tandis qu'il secouait le corps engourdi de Caroline. Sa maman n'allait jamais se réveiller, il l'ignorait encore. « T'es qui toi ? Aides moi ! » s'écria le petit Sorrow en levant rapidement les yeux vers le meurtrier de ses parents, il se fichait de qui il était, Sorrow-Jack voulait seulement que ses parents se réveillent, le prennent dans leurs bras, plantent un baiser au sommet de son crâne, lui disent qu'ils l'aimaient. « Attends une heure avant d'appeler la police, me recherches pas sinon je reviendrais pour toi. » se contenta-t-il de répondre avant de quitter la résidence d'un pas rapide, sans même regarder derrière lui, laissant un petit Sorrow de sept ans sans rien, sans parents, sans argent et sans famille avec seulement des souvenirs qui hanteraient ses nuits à jamais.

« Je suis revenu pour toi. » annonça le tueur, un poignard en main tandis qu'il s'avançait vers Sorrow-Jack, désormais âgé de douze ans. Sorrow sentit sa poitrine céder sous la fraîcheur de la lame encore imprégnée du sang de ses parents. Il sentit sa dernière bouffée d'oxygène quitter sa poitrine. Il suffoquait, il mourrait, il souffrait. Tout ce qu'il voyait devînt doucement noirci, puis assombri puis totalement noir. « réveilles toi petit con » Thomas Carter le secoua violemment, tirant Sorrow du même cauchemar qu'il faisait chaque nuit. « Prépares toi, petit branleur » ordonna Mr Carter en tirant les draps qui couvraient Sorrow-Jack. « Tu retournes en foyer cette après-midi. On en a notre claque de toi » s'expliqua-t-il. Oh, non, Sorrow n'était plus touché par tout ça. Bien sûr que revoir les murs de ce foyer d'accueil était sa hantise mais aux "petits branleurs, gamins" et autre, il s'y était habitué, au bout de 8 familles d'accueil différentes mais à chaque fois, il espèrait en trouver une meilleure, qui l'accepterait tel quel, lui et ses crises de colères, ses sautes d'humeur et compagnie.

❝ blabla ❞

Part 2 : les foyers d'accueil gros cons les riches distants, les études blabla + sa meilleure amie

il a du faire le tour des foyers d'accueil, ses parents étaient tous des cons, il a fini par s'en sortir en attérissant dans une famille de riches cependant distants. Il a pu faire des études de droit et est maintenant indépendant, débrouillard, autonome, distant, toussa et n'a pas recontacté sa famille depuis son entrée a l'université. Il y rencontre une fille qui devient sa meilleure amie mais qui a des sentiments pour lui (cachés sinon c'est pas drôle) et l'aide a reprendre gout a la vie, blabla.

❝ all of my doubts suddenly goes away somehow ❞
Part 4 : Enola et puis s'en va

Il y a trois ans il rencontre Enola lors d'un procès genre c'est l'adversaire toussa leurs arguments collent, leur personnalités aussi et très vite ils sortent ensemble et pendant un an c'est l'amour fou, toussa puis il apprends que son père est le meurtrier de ses parents, il croit a un piège, un mensonge du coup il déménage a Chicago sans lui dire au revoir, sans la contacter

❝ i have died everyday ❞

Part 5 : Sa vie a Chicago
se renferme recommence a boire, toussa, se plonge dans le boulot, sa vie craint, blabla.

❝ a new breath of life ❞

Part 6 : Retour + conclusion

Puis il y a deux semaines il se fait embaucher dans une nouvelle boite ou elle y travaille il se trouve qu'elle est fiancée avec le patron blabla/son prof de la fac et qu'il l'aime encore.